La compagnie secrète du Victoria

Au cas où je n’aurais pas été assez clair en vous racontant l’autre jour la malheureuse histoire de Roy Raymond, je vous en propose ici la version que donne le site Worldlingo, qui se définit (peut-être un peu vite) comme un site de traductions en ligne. C’est un beau sujet de méditation que de considérer qu’une chose apparemment aussi triviale que le passage d’une langue à une autre met en échec depuis cinquante ans tous les ordinateurs de la planète. Dès lors que la logique est floue (ce qui est le cas pour la syntaxe) ou que le sens est complexe (ce qui est le cas pour la plupart des mots), on constate que la binaire informatique ne peut qu’aller se rhabiller, même quand elle s’attaque à un texte qui parle d’une entreprise de sous-vêtements.

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« Roy Raymond était Américain homme d’affaires qui a commencé Le secret de Victoria magasin de détail de lingerie.
Raymond, almunus de l’école graduée de Stanford des affaires, a ouvert du premier le magasin secret Victoria au Centre commercial de Stanford après que le sentiment ait embarrassé l’essai d’acheter la lingerie pour son épouse dans l’environnement public et maladroit de grand magasin. (…)
En 1982, après 5 ans d’opérations, Roy Raymond a vendu la compagnie secrète du Victoria (…)
Dans 1984, Raymond a commencé le destin de mon enfant, un magasin de détail pour les enfants qui sont allés en faillite dans 1986.
Roy Raymond a commis le suicide sautant en septembre 1993 outre du Pont en porte d’or, à l’âge de 47. »

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