Supposons

Nul ne connaît ni le jour ni l’heure. Mais supposons. Supposons qu’il me reste dix ans à vivre. Cela fait cent vingt mois. Je peux tracer dix fois douze bâtons sur une feuille de papier, en barrer un à chaque mois qui passe, et voir se rapprocher l’échéance.

Ça passe vite, un mois. Cent vingt, c’est un tout petit capital. A l’arrivée, il aura peut-être grossi un peu, ou se sera réduit brusquement. Rien, absolument rien n’est garanti. Alors, qu’en faire ? Ou plutôt : comment en jouir au mieux ?

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Bruno SERIGNAT

… et les derniers mois, dans quelle condition physique ?