Vous êtes en plein centre de Paris. Vous poussez une porte cochère. Elle se referme. Et vous voilà cent cinquante ans en arrière, au moins, dans le silence. Un rosier grimpe le long du mur. Il y a des géraniums aux fenêtres.
Votre fiacre s’éloigne. Deux vieux fauteuils rouillés vous attendent au fond de la petite cour pavée. Peut-être allez-vous écarter quelques fleurs pour vous asseoir dans l’un d’eux et attendre, en regardant le ciel, que votre coeur s’apaise et que le crépuscule se charge de parfums.
On a toujours raison de pousser les portes cochères à Paris, à Rome, à Florence ou ailleurs… On y trouve des merveilles et de beaux souvenirs de voyage…
merci