Lorsque j’étais élève, j’aimais beaucoup la géométrie analytique : tracer une courbe, en découvrir la forme en reliant sur un repère orthonormé les points par lesquels elle passe me procurait une réelle satisfaction, intellectuelle et esthétique.
Quelqu’un a eu la bonne idée d’utiliser ces mathématiques pour écrire l’amour. En anglais, c’est assez simple : le mot LOVE est réductible à quatre équations. En français, à cause du A et du R, c’est déjà plus compliqué. Et en chinois (爱), c’est une toute autre paire de manches…