C’est le travail de la pluie de laver les traces sur le sol et les murs. C’est le travail du vent de balayer les feuilles. C’est le travail de la mer d’effacer sur le sable les pas des amants, désunis ou non. C’est le travail du temps de faire de la place au nouveau.

C’est le travail du poète de nous réjouir le cœur et d’éveiller notre sensibilité. Merci Jean-Pierre. Armelle Vergely