Guy Zwinger

J’ai connu Guy Zwinger il y a une dizaine d’années. Il co-animait à l’époque une émission de radio consacrée à la chanson. Il avait un emploi dans une banque, mais sa passion allait aux troubadours.

Depuis ce temps-là il me suit, comme il suit de nombreux autres chanteurs dont il apprécie les productions. Il sait tout de ma modeste carrière, et il est mieux que moi capable de dire où j’ai chanté tel ou tel titre pour la première fois.

Aujourd’hui il a lâché la banque mais pas la radio. Dès que l’occasion se présente il m’invite dans l’une ou l’autre des émissions qu’il anime désormais en propre, à Nancy (RCN) et à Paris (Radio libertaire). Et s’il le peut il suscite des concerts, publics ou privés, comme il vient de le faire à Novéant la semaine dernière.

J’en parle ici pour le remercier de ce qu’il fait, et à travers lui tous les amateurs passionnés grâce auxquels vit encore une certaine chanson française. Ils parlent de nous ; il est juste, en retour, que l’on parle un peu d’eux.