« Et cætera, et cætera. »
Paul Valéry, qui aimait bien la formule (contrairement à Mallarmé, précise-t-il), la décrivait comme un « geste qui élimine l’infini inutile ». Il ajoutait : « L’esprit ne supporte pas la répétition. Il semble fait pour le singulier. Dès qu’il aperçoit la loi, la monotonie, la récurrence, il abandonne.*»
Moi, à la place de Paul Valéry, il me semble que j’aurais écrit : « L’esprit ne supporte pas la répétition. Il semble fait pour le singulier. Dès qu’il aperçoit la loi, la monotonie, la récurrence, et cætera, il abandonne. » J’aurais mis un clin d’œil sous ma plume.
* Paul Valéry, Tel Quel p 162