Nouvelles chansons

Depuis ma rencontre avec un astronome qui observe la Terre, sans pour autant la voir de Sirius, j’avais eu envie de traiter du sujet dont il m’avait entretenu: l’homme face à son propre pullulement et à la pression qu’il exerce sur son habitacle terrestre.    Comme nous allons au cours de cette année 2011 accueillir […]

Vendredi dernier aux trois baudets, Michelle Vian (la première épouse de Boris Vian, ils s’étaient connus en 1940 quand ils avaient vingt ans tous les deux) m’a fait le plaisir et l’honneur d’assister à mon concert. La formule peut paraître plate et surannée, pourtant c’est la bonne, si l’on veut bien un instant redonner leur

Ce soir, concert aux 3 baudets. J’ai mis au programme trois nouvelles chansons : Pauvre Vénus, Un jour -un poème de Boris Vian que j’ai tout récemment mis en musique-, et Si j’étais un arbre. Scott, Gérard et Patrick (mes amis musiciens) les ont découvertes (et travaillées) lors de la répétition. Ces trois “zicos” m’éclatent

Il a 22 ans et s’en va La vie qui le prend dans ses bras Il lui confie son âme vagabonde Il part seul il dit pour six mois Peut-être plus je ne sais pas Le temps qu’il faut pour embrasser le monde Il voit le large qui l’appelle L’avenir aux couleurs de ciels Où

Si j’étais un arbre Je serais celui Qui fait bande à part Et de l’ombre aux vaches A l’écart du bois Seul dans la prairie Et qui n’attend rien Que des saisons douces Si j’étais un arbre Au bout de mes bras J’aurais des rameaux Éperdus de ciel Et malgré le vent Blessant mes brindilles

Un de mes regrets, c’est de n’avoir pas mis sur mon dernier disque la chanson que j’avais écrite sur le supplice de Damiens. Evidemment, elle rompt avec l’humour et la légèreté qui font un peu partie de mon image, et elle est difficile à placer en concert, aussi bien par son sujet que par son

Un petit ennui de santé me prive du plaisir d’être aujourd’hui auprès de mon ami Jacques, dans sa maison de Gordes, où il fête ses soixante ans. Je lui avais composé une petite chanson pour l’occasion, sur un air allègre et jazzy, entre “Mack the Knife” et “Mon manège à moi”. Elle s’intitule subtilement “Le

Je ne crois pas avoir encore publié sur ce blog M’enfuir vers toi. Mon amour, c’est aujourd’hui ton anniversaire, c’est la parfaite occasion, ces paroles je te les redis en ce jour. Moi qui m’efforçais de rester immobile A l’écart des grands fleuves où l’on se noie Moi pour qui changer de place était futile

Qui sait encore où se trouve Cythère Son petit port ses barques ses pontons Ses rosiers ses coins d’ombre ses moutons Et ses plaisirs joyeux dans leur mystère ? Qui sait encore où se trouve Cythère ? En ces temps décadents et délétères D’un Occident où tout est dévoilé Où toute intimité est étalée Où le porno

Je me glisse dans l’actualité africaine du moment (célébration du cinquantenaire de l’accession à l’indépendance des pays d’Afrique noire qui constituaient les anciennes colonies françaises) en diffusant le clip que j’ai réalisé il y a quelques mois sur ma chanson Senghor à Bel Air. Si je ne l’ai pas rendu public plus tôt, c’est qu’il