Lu cette pensée de Sainte-Beuve, qui date de 1846 : « Tout va si vite de nos jours, tout se vulgarise si rapidement ! Cinq minutes d’avance sur le public, c’est déjà beaucoup…»
C’était du temps de la voiture à cheval, bien avant le téléphone, la télévision et l’Internet. S’il revenait faire un tour dans ce bas-monde, je crains que ce bon Sainte Beuve ne s’y trouve instantanément décoiffé.