Je me suis un jour retrouvé à pousser mon scooter, qui était en panne, vers l’atelier où il devait être réparé. Je longeais, suant et soufflant, le métro aérien, en me demandant si j’allais encore pousser longtemps, lorsque je croisai la rue Cépré.
– C’est bon, me suis-je dit. Si Cépré, c’est que ce n’est plus très loin.
Quand cette pensée m’est venue, j’ai compris que j’étais fatigué.
Il est toujours là, tout près.
Qu’est devenu le scooter ?