On ne fume plus dans les bureaux. Je ne dirais pas que c’est dommage, mais cela prive d’informations amusantes sur l’inconscient des collaborateurs de l’entreprise. Chez Synthélabo, le directeur de la recherche fumait des petits cigares de marque Nobel. Le tabac à pipe du directeur financier, c’était du Royalty.
Les mêmes que ceux que je fume encore aujourd’hui, à savoir essentiellement des Romeo & Juliette (soit des Regalias de Londres, des Mille-Fleurs ou des Cedros n°2) et, parfois, un Partagas ou un Upmann (Majestic)…
Quelle marque ?
… et, quant à moi, chez Synthelabo, je fumais un Havane chaque début d’après-midi mais je me calfeutrais dans mon bureau de peur de déclencher la colère de mes secrétaires… BS