J’ai un ami qui avait l’habitude de courir régulièrement des marathons (42 km et quelque chose).
Un jour, il décide de passer au niveau supérieur, et s’inscrit à une course de 100 km.
Le départ a lieu dans un village campagne au petit matin, et les concurrents se préparent tous silencieusement. Mon ami entre au café, et avise un homme assis sur une chaise en train de préparer soigneusement ses pieds et ses chaussures. Manifestement, c’est un habitué de ce type d’épreuves. Il s’approche donc, essaie d’accrocher le regard de l’autre, très appliqué à se pommader avec des onguents divers.
– Excusez-moi, mais… Voilà, j’ai couru beaucoup de marathons, mais jamais de 100km.
– Hmmm…
– C’est donc une première pour moi.
– Hmmm…
– Vous avez l’air de vous y connaître. Est-ce que vous auriez un conseil à me donner?
– Oui, un seul: n’accélérez pas à mi-parcours.
Un jour, il décide de passer au niveau supérieur, et s’inscrit à une course de 100 km.
Le départ a lieu dans un village campagne au petit matin, et les concurrents se préparent tous silencieusement. Mon ami entre au café, et avise un homme assis sur une chaise en train de préparer soigneusement ses pieds et ses chaussures. Manifestement, c’est un habitué de ce type d’épreuves. Il s’approche donc, essaie d’accrocher le regard de l’autre, très appliqué à se pommader avec des onguents divers.
– Excusez-moi, mais… Voilà, j’ai couru beaucoup de marathons, mais jamais de 100km.
– Hmmm…
– C’est donc une première pour moi.
– Hmmm…
– Vous avez l’air de vous y connaître. Est-ce que vous auriez un conseil à me donner?
– Oui, un seul: n’accélérez pas à mi-parcours.
