J’assistai récemment, en compagnie de mon ami Jacques Langlois, à la remise d’un nouveau prix littéraire.
Comme il convient désormais dans ce genre de cérémonie, on donne la parole aux jurés “de base”, et on les fait longuement parler des “finalistes”, c’est-à-dire des livres qui n’ont pas eu le prix.
Le juré “de base”, arrivé au micro, en profite pour tenter de faire valoir la qualité extrême de l’ouvrage qu’il avait défendu, avant de se trouver recalé.
L’un des membres de ce jury, une femme, avança ce soir-là un argument étrange en faveur du livre qui avait eu sa préférence.
-C’est, disait-elle, un livre à lire par les deux sexes.
Jacques se tourna vers moi et me dit:
-Lisons-le d’abord par les deux yeux.
Comme il convient désormais dans ce genre de cérémonie, on donne la parole aux jurés “de base”, et on les fait longuement parler des “finalistes”, c’est-à-dire des livres qui n’ont pas eu le prix.
Le juré “de base”, arrivé au micro, en profite pour tenter de faire valoir la qualité extrême de l’ouvrage qu’il avait défendu, avant de se trouver recalé.
L’un des membres de ce jury, une femme, avança ce soir-là un argument étrange en faveur du livre qui avait eu sa préférence.
-C’est, disait-elle, un livre à lire par les deux sexes.
Jacques se tourna vers moi et me dit:
-Lisons-le d’abord par les deux yeux.
Je propose comme motion de synthèse à ce petit dialogue la phrase qu’on lira dans l’image. Si vous voyez trouble, éloignez-vous de l’écran.
… et trop de vulve cause des troubles du latex.