Un jour, peut-être, ce blog sera posthume.
J’ai quelques articles d’avance, en général cinq ou six, dont la publication est programmée. Aussi, si je passais sous un autobus, ça ne m’empêcherait pas pendant quelque temps encore de me comporter ici comme si j’étais vivant. Qui sait, à l’heure où vous lisez ces lignes, si je ne suis pas déjà ad patres?
Voilà un aspect encore mal exploré de la conquête du réel par le virtuel. Les frontières se troublent, les temps se superposent. On en revient au chat de Schrödinger, qui peut être à la fois vivant et mort. Rien n’interdit d’imaginer qu’on lit déjà ici ou là sur la toile de vrais billets d’outre-tombe: de quoi faire se retourner dans sa dernière demeure M. François-René de Chateaubriand.
J’ai quelques articles d’avance, en général cinq ou six, dont la publication est programmée. Aussi, si je passais sous un autobus, ça ne m’empêcherait pas pendant quelque temps encore de me comporter ici comme si j’étais vivant. Qui sait, à l’heure où vous lisez ces lignes, si je ne suis pas déjà ad patres?
Voilà un aspect encore mal exploré de la conquête du réel par le virtuel. Les frontières se troublent, les temps se superposent. On en revient au chat de Schrödinger, qui peut être à la fois vivant et mort. Rien n’interdit d’imaginer qu’on lit déjà ici ou là sur la toile de vrais billets d’outre-tombe: de quoi faire se retourner dans sa dernière demeure M. François-René de Chateaubriand.
Eh bien celui-ci tombe (si je puis dire) à point. Et qu’on se rassure: j’y réponds d’ici-bas.
Moi, c’est pareil, j’ai cinq ou six commentaires à tes articles d’avance…