Le 29 février me parait un excellent jour pour réfléchir sur le temps. Et quel meilleur guide en ce domaine qu’Etienne Klein?
Ce qu’il y a d’amusant, lorsqu’on lit un livre d’Etienne, c’est qu’on se met à se poser des questions sur des choses évidentes, qui, à l’examen, se révèlent beaucoup plus ardues qu’on ne l’aurait d’abord pensé. Par exemple : le temps s’écoule, mais dans quoi ? Qu’est-ce qui le contient ? Et corollairement : quel est son moteur ? Qu’est-ce qui fait qu’il s’écoule ?

Une idée de réponse qui me plait bien, c’est celle de l’espace-temps dynamique. L’espace et le temps sont en expansion. Le présent, c’est le bord de l’espace-temps. Nous sommes à sa frontière, sur une vague se déployant dans le vide. La vie, ce serait ça : surfer un moment sur cette vague vertigineuse. Derrière, que des noyés.
Ce qu’il y a d’amusant, lorsqu’on lit un livre d’Etienne, c’est qu’on se met à se poser des questions sur des choses évidentes, qui, à l’examen, se révèlent beaucoup plus ardues qu’on ne l’aurait d’abord pensé. Par exemple : le temps s’écoule, mais dans quoi ? Qu’est-ce qui le contient ? Et corollairement : quel est son moteur ? Qu’est-ce qui fait qu’il s’écoule ?

Une idée de réponse qui me plait bien, c’est celle de l’espace-temps dynamique. L’espace et le temps sont en expansion. Le présent, c’est le bord de l’espace-temps. Nous sommes à sa frontière, sur une vague se déployant dans le vide. La vie, ce serait ça : surfer un moment sur cette vague vertigineuse. Derrière, que des noyés.
“Autrefois”, justement. Avant toutes ces percées conceptuelles. Plus maintenant…
Mais vous chantez pourtant “autrefois le futur était stable et lisible”. Ce n’était donc qu’une illusion?