Chatte à nougat
par arbon
La chatte à nougat s’est appelée dans un premier temps le matou de Montélimar. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi un titre s’est imposé plutôt que l’autre. Une question d’euphonie sans doute, de double sens, de compacité. Et peut-être l’apparition de “Pussy cat” dans le solo, là où la version initiale répétait “Que je t’aime”.
Pour ce titre, je voulais un son rock un peu gras, comme la moiteur d’un été dans le sud des Etats-Unis. La basse, la batterie, l’orgue s’en sont chargé.
Il faut écouter la guitare électrique de Scott. Il avait déjà réalisé deux ou trois prises, lorsqu’il s’est mis à imaginer une petite chatte miaulant sur les toits. Et voilà comment se font les bons arrangements.