À la suite de ma publication d’hier, traitant de Notre soeur l’éponge, mon camarade Jacques Langlois a posté sur Facebook un commentaire qui apporte un complément décisif sur les liens de parenté que nous entretenons avec les éponges. Mais tout le monde ne me lit pas sur Facebook. J’y reviens donc aujourd’hui.
Pour résumer, je disais qu’il est désormais établi que l’éponge de mer est, d’un point de vue phylogénétique, notre sœur à tous, et j’en concluais que cela nous appelle à une certaine humilité. Or, que nous dit Jacques Langlois ? Que « l’autre éponge en appelle, elle, à l’humidité, mais [qu’]elle fait partie aussi de la famille, si l’on en croit le fabuliste selon lequel si ça nettoie, c’est donc ton frère. »
Voilà. C’est cette précision capitale que je souhaitais porter à la connaissance de tous.
(J’espère que mes lecteurs excuseront ce moment de faiblesse, et qu’ils passeront l’éponge sur le post de ce jour.)