C’était à propos de politique. Un commentateur, qui se voulait assassin, disait : « Si vous êtes prêt à vendre votre âme, assurez-vous au moins que vous avez quelque chose à vendre ».
Peu de temps après, en relisant mes notes, j’ai retrouvé cette belle phrase de Claudel dans Le partage de midi : « Mon âme en moi comme une pièce d’or entre les mains d’un joueur ».