J’avais dix-neuf ans. Il m’arrivait d’écrire. Ce n’était pas régulier comme ce blog, et sans être un journal intime, ce n’était destiné à personne d’autre que moi.
Je lis : « Toujours cette impression insistante, renouvelée, de passer entre les gouttes de la pluie, du destin, de la sagesse ».
Tant d’années ont passé, et je ne suis toujours pas mouillé. Enfin, je ne crois pas…
Mais y a-t-il de quoi se vanter ?