Il y a à Montreuil une rue du Progrès ( au demeurant assez défraichie ) et une impasse du Progrès.
Cela montre qu’à Montreuil, on a compris que le progrès n’est pas univoque, et qu’étant chose humaine, il a un bon et un mauvais côté : comme un Janus bifrons, à deux faces, ou comme la langue d’Esope, la meilleure et la pire des choses.
(On y a aussi compris que le progrès, bon ou mauvais, et jusque dans ses impasses, suppose non l’immobilité, mais le mouvement. C’est pourquoi le stationnement en cet endroit se trouve, à juste titre, interdit).