Depuis, nous sommes devenus amis. Depuis, il fait pleinement partie de l’aventure, à laquelle participent avec enthousiasme sa femme et ses enfants. Depuis, je n’organise plus de compétition pour les pochettes de mes disques ou les visuels de mes affiches. C’est Kikko qui conçoit, c’est Kikko qui crée. Je ne vois pas comment il en irait autrement.
Cela nous donne l’occasion de séances de “brainstorming” toujours agréables et toujours fécondes. Il se trouve que les lieux favoris de Kikko sont les miens: le jardin du Luxembourg à Paris, ou entre Chinon et Saumur, à la campagne…
En avant-première pour les lecteurs de ce blog, voici à quoi ressemblera le visuel de la prochaine pochette (document de travail, non finalisé). Toujours ce même parti pris de mêler un portrait photographique avec des dessins. L’idée illustrée ici (hommage à La Fontaine) est celle du “fabuliste rock”.
Très belle couverture… Bravo à Kikko
Et puis, qu’importe le flacon…
Ah! Ce n’est pas la ligne claire hergéenne, les collages de Kikko. En dehors du fait que ça plait ou non, qui, comme on sait, ne se dispute point (moi ça me plait), la composition a l’avantage
d’être modulable et déclinable et permet d’évoquer les chansons.
C’est encore une maquette à ce stade, mais terriblement efficace si on l’imagine dans le rayon disque d’une Fnac.
Très “Rex imperator”, ce profil!
Une main gauche et une droite tenant chacun la plume…Notre auteur-compositeur est donc ambidextre. L’une sort de l’oreille comme pour laisser à penser que la composition précède l’écriture?
L’ensemble me paraît manquer un peu de simplicité, mais ce n’est que mon avis.