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C’est l’image (due à Olivier Lefèvre) en haut à gauche de mon blog qui m’a inspiré cette chanson.
Elle invitait à faire le point avant un départ rêveur ou poétique. Alors, sur l’argent, les relations entre les Hommes, la technologie, la vie qui avance, j’ai rédigé cette brève synthèse en forme de bilan.
Bien que d’un tout autre genre que celle du Chant du Vermisseau, la musique est cependant construite exactement sur les mêmes principes, avec ici effacement de la guitare au profit de choeurs et d’ambiances larges, ouvertes, plutôt nocturnes. J’aime le pont, qui m’évoque un cargo avançant de nuit sur une mer d’huile, et qui introduit assez bien le dernier couplet. C’est toujours Scott qui a assuré les arrangements.
5 aussi, indispensable sur l’album
5 sur 5 pour la note, bonne analyse objective
les pauvres sont pauvres et le resteront
la zik est terrible, noise indus apokalyptique
Comme toujours, belle manière de traiter le sujet par la bande, une seule réserve le ton “confidentiel” dont il ne faut pas abuser en ces temps où les chanteurs susurrent (peut-être parce qu’ils ont un peu honte de n’avoir rien à dire ? Ce qui n’est pas le cas ici).
avant d” traverser les nuages j’aimerai dire un seul mot :merci
malgré tant de douleurs et de pleurs j’ai eu la chance d’aimer etqu’importe si mon corps coule si un seul jour plus tard dans trés longtemps un vivant se souvient lui aussi de moi