(Il a fallu que j’arrête de regarder les infos — ça rendait mes propres problèmes insignifiants.)
L’un des bénéfices secondaires d’une panne de télé est que l’on passe moins de temps à s’inquiéter des affaires du monde (sur lesquelles on ne peut rien, le plus souvent), et qu’on en consacre davantage à s’occuper de soi.
Il n’est pas mauvais de s’intéresser intelligemment à son nombril, et de réfléchir sur soi-même : ce qu’on fait, ce qu’on ne fait pas, et pourquoi. Ce petit exercice est comme le levier d’Archimède : c’est la manière la plus simple et la plus efficace de faire bouger les choses (ou non).