« La folie des mortels est sans limite : les plus petits cadeaux, ceux qui ne valent presque rien et qu’on peut aisément remplacer, chacun en reconnait la dette, alors que personne ne s’estime en rien redevable du temps qui lui est accordé, c’est-à-dire de la seule chose qu’on ne peut pas rendre, fût-on le plus reconnaissant des hommes. » (Sénèque, lettres à Lucilius)
Je considère parfois le temps que Claudine consacre aux autres (personnes handicapées, relations familiales, ami(e)s malades ou dans la peine…), et je me dis que Sénèque n’a pas tort.
Nous ne rendrons jamais assez.