Ni peureux ni rechigné

Les bienfaits de la chanson sont connus depuis longtemps. En 1553, pour qu’il ne soit « ni peureux, ni rechigné », une jeune femme chante pour l’enfant qu’elle porte dans son ventre. Elle chante même en accouchant. Puis elle baptise les lèvres de son fils avec du vin et de l’ail.

Elle s’appelait Jeanne d’Albret. Et son fils ne fut en effet « ni peureux, ni rechigné »: il devint le bon roi Henri IV.

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Pierre-Louis Basse n’est pas rechigné non plus, qui me fait une nouvelle fois le grand plaisir de m’inviter dans son émission “A domicile”, diffusée ce soir à 22 h sur 365 (canal 88 sur Orange, 124 sur Canalsat, 140 sur Free, 170 sur Numericable, et 74 sur SFR). Je devrais apparaitre dans la lucarne vers 22h45. 

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