© Joël Mathieu
De notre récent passage au Quesnoy, nous sommes revenus avec cette jolie critique parue dans la Voix du Nord :
La Fontaine et Brassens semblaient dialoguer au gré de la culture impertinente de Jean-Pierre Arbon qui tissait un spectacle émaillé de surprises, de complicités, de finesse, servi formidablement sur scène par la talentueuse comédienne Marie-Christine Barrault… [Les deux interprètes] jouaient à réveiller nos mémoires, à émerveiller notre imagination, en nous démontrant que l’inspiration des classiques était plus que jamais contemporaine et que leur malice était éternelle. La gaieté et le charme étaient de rigueur pour le plus grand plaisir des nombreux spectateurs.
Surprise, complicité, finesse : ces mots me vont. De même que la malice éternelle des classiques. Si ces pensées viennent à l’esprit des critiques (et des spectateurs), notre pari est gagné.
Pour faire vivre ce spectacle, l’exposer, et lui donner des chances de repartir dans de nombreuses villes de France, tout en faisant plaisir aux Parisiens, nous le donnerons à nouveau le 3 juin, à l’Européen, à 20h30.
Qu’on se le dise !