La scène se passe au tribunal. Un prévenu s’indigne des fautes d’orthographe qui émaillent le rapport de police. Le procureur lui répond : – Et alors ? Il y a toujours des fautes d’orthographe dans un rapport de police. Sinon, c’est un faux !…
Je fais le rapprochement entre cette “brève”, parue dans le Nouvels Obs il y a deux semaines, et la photo ci-dessous, prise à Bordeaux, que des amis ont partagée sur Facebook.
La municipalité a dû confier à un ancien agent la rédaction des mentions régissant l’affichage public.
Exercice de démocratie locale ou dazibao élitiste réservé aux (o)pignons sur rue? Faudrait poser la question à Juppé.