Faire l’amour, fourmi, crotte, chanter et kalachnikov

Faire l’amour, fourmi, crotte, chanter et kalachnikov sont, dans cet ordre, les cinq mots ou groupes de mots-clés par lesquels un quidam atterrit sur ce blog, d’après les dernières statistiques.

Chanter fait référence à mon métier. Ce devrait donc être la voie d’accès principale à mes écrits en ligne, qui contiennent beaucoup de choses sur mes disques, mes spectacles, mes interventions en entreprise, tout comme sur les autres chanteurs, vivants ou morts, et leurs chansons, dont je parle souvent. Mais la présence de Faire l’amour en tête de liste (avec ses variantes, dont les plus courantes sont fair l’amour (sic) et faire l’amour tout nu), s’explique très bien, j’ai d’ailleurs déjà commenté le phénomène.

Fourmi est nettement plus inattendu. En tant que chanteur, je me range plutôt dans le camp des cigales. Mais il y a cette étrange conversation avec une fourmi mentionnée sur ce blog dès le premier jour, qui attire un grand nombre de lecteurs, ou d’auditeurs, puisque c’est une chanson.

Crotte, je ne vois pas pourquoi ça conduit à mon blog, à moins que, quelque part sur Internet, on ne qualifie mes productions de crottes, et que cela n’excite la curiosité du public. La piste de recherches la plus sérieuse m’amène du côté de la théorie du premier popo : bien que le mot “crotte” n’y figure pas, cet article est en effet devenu l’un des plus reniflés parmi tous ceux que j’ai déposés délicatement sur la toile.

Quant à Kalachnikov, il y a bien une page qui porte ce titre, mais elle ne semble pas spécialement consultée, en sorte que le mystère est total.