Picasso avait dit : « Quand je n’ai plus de bleu, je mets du rouge ». Et Matisse, quand il ne pouvait plus se lever, mettait une rallonge à son pinceau.
Ils ne se laissaient pas contraindre par des contingences. Gloire leur soit rendue.
Picasso avait dit : « Quand je n’ai plus de bleu, je mets du rouge ». Et Matisse, quand il ne pouvait plus se lever, mettait une rallonge à son pinceau.
Ils ne se laissaient pas contraindre par des contingences. Gloire leur soit rendue.