Entre ceux qui pensent que le Web doit devenir un espace marchand et ceux qui prônent la fidélité aux origines libertaires d’Internet, on n’est de toute façon pas près de se mettre d’accord.
Dans Web Love Story, les héros se retrouvent aux Enfers. Il s’y plaignent à un Hadès moderne (vieux rocker clouté mi-punk mi-Hell’s Angel) que le réseau n’est plus libre comme avant. Avant, on partageait, avant, il n’était pas question d’argent. Et Hadès, bien sûr, se fout de leur gueule.
There was room for love and beauty,
No one cared about making a sale.
But tell me, tell me, tell me, tell me,
Did you believe that fairy tale ?
Once the network used to be free,
Its beauty was its liberty.
Anything could be shared on it.
But tell me, tell me, tell me, tell me,
Did you really believe that shit ?
Once the network used to be free,
Protected from trade and money.
Now it’s ravaged by greed and lies.
But tell me, tell me, tell me, tell me,
Does this come as a real surprise ?
C’est amusant cette ressemblance des mots: HADopi, HADes. Je n’avais pas pensé jusqu’ici qu’HADES pouvait être un acronyme. Haute Autorité Des Enfers Suprêmes?
http://www.youtube.com/watch?v=nWUZ1XDBbp4
“Web love story”…Le verrons-nous un jour sur scène, ce “musical” aussi prophétique qu’ectoplasmique?