Le neuvième arrondissement de Paris est plein de surprises. On pousse une porte, et on se trouve totalement ailleurs.
J’ai rendez-vous chez un éditeur de musique. Adresse banale, immeuble lambda. Je franchis l’entrée. Un écriteau m’indique: “après la cour à gauche”. Je traverse la cour, ordinaire, et passe sous un porche. Et là… Un jardin, et sur le jardin un exceptionnel hôtel particulier, blanc, opulent, fastueux et discret.
– C’est l’ancien lupanar de Napoléon III, m’indique la personne qui m’accueille. En montant à l’étage, la Vie parisienne d’Offenbach me vient à la tête. “Je vais m’en fourrer, fourrer jusque là”.
En repartant, j’avise un magnifique salon de style Louis XV, avec parquet Versailles, dorures sur les portes et moulures au plafond, transformé en openspace.
– Qui sont les privilégiés qui ont hérité de cet endroit?, demandé-je.
– Ici? Ah! Ceux qui s’occupent du rap…
J’ai rendez-vous chez un éditeur de musique. Adresse banale, immeuble lambda. Je franchis l’entrée. Un écriteau m’indique: “après la cour à gauche”. Je traverse la cour, ordinaire, et passe sous un porche. Et là… Un jardin, et sur le jardin un exceptionnel hôtel particulier, blanc, opulent, fastueux et discret.
– C’est l’ancien lupanar de Napoléon III, m’indique la personne qui m’accueille. En montant à l’étage, la Vie parisienne d’Offenbach me vient à la tête. “Je vais m’en fourrer, fourrer jusque là”.
En repartant, j’avise un magnifique salon de style Louis XV, avec parquet Versailles, dorures sur les portes et moulures au plafond, transformé en openspace.– Qui sont les privilégiés qui ont hérité de cet endroit?, demandé-je.
– Ici? Ah! Ceux qui s’occupent du rap…

salut Arbon !
je découvre ton blog avec ravissement…
bravo et à bientôt pour la fameuse mousse
Philippe