
Il faut croire que l’air y est bon pour l’humour.
Malheureusement pour leurs poumons respectifs, la vie les amena tous deux à s’installer à Paris, où ils découvrirent la pollution et les ascenceurs.
Comme on sait qu’ils se fréquentèrent, on peut imaginer qu’ils ont dialogué sur ces sujets. P

– Ne pourrait–on pas agir pour l‘air comme on fait pour l‘eau, c‘est–à–dire amener à Paris de l‘air propre, de même qu‘on y conduit de l‘eau pure ?
– Bonne idée! L’air de Paris est si mauvais que je le fais toujours bouillir avant de respirer.
Ou encore:
– J’ai dû oublier mon parapluie dans l’ascenseur. Mon parapluie doit être très inquiet de m’avoir perdu.
– Comme disait le groom, il y a des hauts et des bas dans la vie…
– Comme disait le groom, il y a des hauts et des bas dans la vie…
Petit quizz: dans ces échanges rapides, saurez-vous attribuer chaque réplique à son auteur?
c’est troooop dur si c’est dans un dialogue. Ze croyais que c’était deux histoires séparées.
Bien vue, la différence entre cosmique et comique. Et pourtant, les réponses sont comme suit:
1er dialogue: Allais parle, Satie répond
2è dialogue: Satie parle, Allais répond
Satie de la Terre :”Mais quand donc cessera-t-elle de tourner?”
Alphonse Allais jamais ne geint.
Le pébroc et le groom, c’est Satie. L’autre, c’est l’autre. L’un cosmique, l’autre comique. Un S de dif, et vous avez la musique en sus. Pas ma muique en u.
Quizz difficile car l’humour d’Allais était satirique et l’esprit de Satie allait très vite. Bref, je ne suis pas Cap de répondre à cette question, n’étant pas assez gnossien.