La chanson, écrite en 1931 par Herman Hupfeld, faisait partie d’un show de Broadway intitulé “Everybody’s welcome”. Elle y commençait par un petit couplet sur la vitesse du progrès dans la vie moderne, et l’inconfort qu’il pouvait y avoir à vivre dans un monde dans lequel la quatrième dimension et la relativité d’Einstein venaient de faire irruption…
Bel exemple de l’importance du contexte dans les émotions qu’on éprouve : cette évocation plaisante et nostalgique des choses simples de la vie devient dans le film un hymne à tous les amoureux du monde.
Sam est interprété par Dooley Wilson, qui chante, mais est doublé au piano. La video est un montage d’images du film