Le paysage est vaste, et le ciel gris. Le vent souffle. On respire. Il va peut-être pleuvoir. Hâtons le pas pour regagner la maison. Nous y serons au chaud, à l’abri.
Par les temps qui courent, et les migrants qui peinent, il faudrait ne jamais perdre de vue quel privilège c’est, d’avoir un toit.