François Morel et Antoine Sahler m’ont fait l’amitié de donner une lecture musicale des Derniers jours de Harry Yuan à la Maison de la Poésie, dont voici, en guise de premier extrait, les deux premières pages du roman, celles qui installent le personnage dans l’énigme de sa fortune, de sa chute, et de son hallucinante disparition.
Je leur en suis particulièrement reconnaissant, avec une mention particulière à François qui nous a rejoints directement au sortir d’une représentation de « Art » au théâtre Montparnasse, pièce dans laquelle il triomphe actuellement à Paris.