« La Vieillesse n’a pas pris une ride ».
Cette affirmation paradoxale concerne le livre intitulé “La Vieillesse”, que Simone de Beauvoir avait fait paraître en 1970, et ce sont là les termes mêmes dans lesquels j’en ai entendu parler dernièrement.
Il est dommage que cette absence de rides ne s’accompagne pas d’un style plus boursouflé, cela aurait pu permettre de révéler que Simone de Beauvoir s’appelait en réalité Simone de Botox.
(Il ferait néanmoins beau voir que la maison Gallimard achète les droits photos de ce portrait de Madame Jocelyn Wildenstein pour servir de couverture à la prochaine édition.)