Vu Alex Beaupain hier soir à la Cigale. Il n’écrit (magnifiquement) que sur le deuil, la douleur, l’absence, mais le miracle est qu’il le fait sans pathos, sur des musiques pop légères, avec, sur scène, une gaité inattendue entre les chansons. C’est une sorte de Souchon aux prises avec une peine inconsolable, sur laquelle il ne cesse de composer, et qu’il transforme en bulles tristes et légères, qu’irisent les reflets de la vie et le souvenir du bonheur.
C’est beau.