J’ai reçu hier un courriel dont je vous fais part. Il a subi de multiples transferts, mais il émane à l’origine d’un certain Masuro Emoto, citoyen japonais.
Suite aux énormes tremblements de terre, de Magnitude 9, et au tsunami surréaliste, plus de 10.000 personnes n’ont toujours pas été retrouvées en ce moment même… alors que la catastrophe a eu lieu il y a 16 jours. La situation a été aggravée par le fait que les réacteurs des centrales nucléaires à Fukushima ont commencé à avoir des fuites…
La sagesse humaine n’a pas pu faire grand’chose pour résoudre le problème et essaie seulement de refroidir la colère des matériaux radioactifs dans les réacteurs en les aspergeant d’eau. N’y a t’il véritablement rien d’autre à faire ?
Bonne question. Selon M. Emoto, la réponse est oui. M. Emoto, comme nous le révèle le titre dont il fait suivre sa signature, est Messager de l’Eau. Cette fonction semble donner accès à des vérités qu’ignorent malheureusement toutes les autorités de sûreté nucléaires du monde. Car l’eau, M. Emoto nous l’apprend après « plus de vingt ans de recherches dans la mesure des cristaux d’eau par technologie photographique », dispose de la faculté de « redevenir positive lorsqu’elle reçoit la pure vibration des prières de l’homme.»
Donc, plutôt que de refroidir bêtement les réacteurs, prions. Mais attention : pas de vulgaires pâtenôtres, ni de ces banals salamalecs que tout bon musulman récite cinq fois par jour. Non, il s’agit ici d’envoyer « nos pensées d’amour et de gratitude à toutes les eaux dans les centrales nucléaires à Fukushima ». Cette prière gagnera naturellement en force si elle est coordonnée. C’est donc aujourd’hui, jeudi 31 mars 2011 à midi dans chaque fuseau horaire, que chacun de nous devra dire trois fois :
« Eau de la centrale nucléaire de Fukushima, nous sommes désolés de vous faire souffrir. S’il vous plaît pardonnez-nous. Nous vous remercions et nous vous aimons ».
Je suppose qu’une fois la prière faite, l’eau deviendra en quelque sorte de l’eau bénite, et je vois mal en effet qu’arrosée d’eau bénite, la centrale s’obstine à rester radioactive très longtemps.