J’en ai déjà parlé souvent : je traverse la vie avec une impression de « glisse » qui ne me quitte pas. Je n’ai pourtant jamais fait ni de surf, ni de skate, ni de patin, ni de planeur. Du ski, oui, mais au siècle dernier — à l’exception d’une journée cet hiver. Quant à mes souvenirs de trottinette, malgré la résurrection récente de ces engins en milieu urbain, ils remontent à l’enfance.
Physiquement je suis donc un médiocre glisseur. Mais sur le plan existentiel je me considère en revanche comme un glisseur remarquable, voire exceptionnel.
Le temps passe. Le présent reste. C’est tout ce qu’il y a à savoir.
C’est très joliment exprimé, comme à chaque fois avec ta plume…
Nous ne serons pas au Festival d’Amou cette année, avec vous, car de mariage. Toutefois nous serons présents par la pensée et vous souhaitons beaucoup, beaucoup de succès…
Bien à toi et à Claudine.
Alessandra, Ludo & Shana
Oui, cher Jean-Pierre, tu es un glisseur existentiel remarquable!