« Le bonheur habite à Amou »

J’étais ivre de fatigue hier et n’ai rien écrit pour ce blog.

Je vais donc me contenter aujourd’hui de partager les jolis mots qu’Yves Charnet, que je ne connaissais pas avant le festival, et qui, lui, était en état d’écrire, a publiés sur la page Facebook de Chansons & Mots d’Amou.

“le bonheur habite à amou.
le Festival Chansons et Mots d’Amou comme en plus.

Stéphane Hirschi pendant sa conférence Chants / Contrechamps par Denis Demouge

j’étais juste allé écouter-voir mon vieux camaradami Stéphane Hirschi et passer un week-end à la campagne dans les landes. sans rien savoir de ce festival, de ses invité-e-s, de ses organisateur-e-s. et j’ai savouré, pendant quelques jours, comme un goût de paradis retrouvé. l’apaisante tranquillité d’un village, la douceur d’un air lumineux, des lectures dans un jardin à voix hautes, des fanfares sur les places et des chorales sous les kiosques, des concerts enchanteurs dans les arènes. la vie serait l’autre façon d’aimer les livres & les chansons. le tursan, les magrets au foie gras, le thé glacé au citron & les glaces au bon lait des vaches joyeuses par dessus le marché. le bonheur habite à amou. avec un mélancolique goût de revenez-y. je redis toutes mes admiratives félicitations à Claudine Plas-Arbon & Jean-Pierre Arbon pour l’intendance de la magie. et la délicate générosité de leur accueil. je souhaite longue vie à cette utopie de campagne. des premières rencontres du matin aux dernières rimes des refrains repris en choeur par les insomniaques de la rengaine. j’ai tout aimé d’amou…”

S’abonner
Notification pour
guest

3 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Claudine Plas-Arbon

“Utopie de campagne” c’est joli …
Y penser quand on sera loin d’ici.
Merci

Florence dalmais

C’est tellement bien dit ! Vous avez trouvé les mots pour restituer le goût unique du Festival d’Amou; merci !

Bertrand de Foucauld

Une autre très belle conclusion : “J’ai tout aimé d’Amou…”.

Comme chantait Capdevielle : “On est soixante millions de poètes, c’est çà qui doit faire notre charme”.