Heureux ceux qui disposent d’un temps ou d’un lieu où déposer tous les soucis du monde. Un vieux chêne sous lequel on s’assoit. Une chapelle où l’on va prier. Le sein d’une mère contre lequel on se blottit. Un paysage où l’on regarde poindre l’aube. Tel air de piano sur quoi le cœur voyage.
Pour moi, chaque soir : les bras de ma belle. Et de nouveau chaque matin.
Un homme heureux! Chanceux, va!
Bises virtuelles à tous deux, en attendant mieux…
Brian
Merci Brian !