Les mécontentements qui s’expriment encore de façon à peu près audible, à la SNCF, dans les hôpitaux, à Notre Dame des Landes, à l’Université, vivent probablement leurs derniers jours : la Coupe du Monde de football arrive.
Si j’étais le Gouvernement, je ferais traîner les choses sur tous ces fronts pendant encore trois semaines. Après quoi, l’attention du bon peuple sera accaparée par des sujets autrement plus importants.
Hélas !