Un mien ami annonce sur Facebook le décès de sa mère. Une dame lui répond : « Mes sincères condoléances à votre Maman.»
J’ai d’abord pensé que cette dame faisait erreur, mais au fond, peut-être pas. Si, comme l’affirme Baudelaire, « les morts, les pauvres morts ont de grandes douleurs », on ne songe que trop rarement à leur dire qu’on y prend part.
S’il est encore temps de vous les présenter, mes sincères condoléances. J’aimais beaucoup votre maman.