J’ai parfois l’impression (c’est le cas aujourd’hui) que je n’ai rien de plus à écrire dans le cadre de ce blog que ce qui y figure déjà. Ça m’est déjà arrivé plusieurs fois, et en général, dès le lendemain je retrouve de quoi nourrir cet exercice quotidien. Mais comme je ne me livre au fond qu’à de perpétuelles variations sur trois ou quatre thèmes — la légèreté de l’être, le sourire du jour, le charme d’un instant, notre propre finitude — l’idée que je radote m’assaille de plus en plus souvent.
Pour user d’une comparaison mobilière, mes idées sont rangées dans un meuble à tiroir, et celui que j’ouvre est soit rempli de vêtements sales et déjà portés, soit il coince…
Voilà, c’est dit, on verra demain si ça va mieux.
Le jour où j’aurai le sentiment que tu racles tes fonds de tiroirs, je te le dirai…
Merci ami. Je compte sur toi.