On se réveille, on ouvre les volets, on se remet au lit, on regarde. C’est notre chambre, pour quelques jours, dans une maison du Cotentin.
Je ne connais pas d’autre lieu où se côtoient à ce point l’intime et l’espace. L’air du large glisse sur nos peaux. La mer nous invite à l’horizontale. Le ciel et ses nuages font un miroir à nos draps.
BARNEVILLE-CARTERET: ce lit en rab’, l’art rêvé?