Je me souviens d’un lointain cours de français de 1ère dont toute la durée (deux heures) avait été exclusivement consacrée à commenter le célébrissime “mais quels sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes”. Ça avait fini par me mettre hors de moi.
“- Monsieur, avais-je dit au professeur, il est impossible que Racine ait pensé à la moitié seulement des choses que vous nous racontez.
– Vous avez sans doute raison, Arbon. Mais c’est ça, le génie“.
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